Talent : Jean David Nkot, le peintre engagé !

Né en 1989 à Douala au Cameroun, il est l’un des rares artistes africains à exposer sur la condition humaine à travers des toiles qui explorent en toute transparence les situations humaines dans un contexte sociétal précis.

« Pendant longtemps, j’ai mis en scène la douleur des personnes que je représentais. Cette fois, j’ai voulu louer leur courage et leur force. Je me suis intéressé à ceux qui restent dans leur pays et se battent pour une vie meilleure, malgré la mauvaise gestion des ressources minières par les Etats »

Après un Bac en peinture à l’Institut de Formation Artistique de Mbalmayo (IFA), il intègre l’Institut des Beaux-Arts de Foumban où il obtient une licence en dessin et peinture en 2O15.
Deux ans plus tard, il rejoint le « Post-Master » Moving Frontiers, organisé par l’Ecole nationale supérieure d’art de Paris-Cergy en France sur le thème des frontières.


De fil en aiguille, en fréquentant les ateliers de ses ainés (pionniers du secteur) notamment Hervé Youmbi, Salifou Lindou, Jean Jacques Kanté, Pascal Kenfack et Ruth Belinga, il peaufine davantage sa plume et son travail devient de plus en plus respecté dans son pays. C’est ainsi qu’il va prendre confiance, exercer sa passion puis influencer majoritairement des jeunes artistes qui apprenaient de son talent dans son atelier.

Une peinture authentique : son atout redoutable !

Avec une esthétique intelligemment soignée accompagnée de l’usage de matériaux (patte) et d’une technique spécifique qu’il appelle « map molécule », il parvient à captiver, puis à transmettre efficacement le message souhaité à ses spectateurs. Un défi que nombreux de ses concurrents de l’époque n’arrivaient pas à relever aussi nettement.

Alors si pour lui, le souci est de transmettre des informations dans toute leur véracité, sur ses peintures, les enfants sont beaucoup présents car selon lui, ceux-ci « sont des personnes qui ne trichent pas avec leurs émotions ». Bien plus, « les enfants induisent le choc nécessaire pour conduire le spectateur à se questionner ».

De multiples séries de peintures rangées dans la même idéologie

Sur une peinture exposant des femmes enceintes qui continuent de travailler dans les mines malgré leurs grossesses dans sa série « Corps de mines », ou sur une autre montrant un homme chargeant une bonne quantité de sacs sur sa bicyclette « Transporteur à titrer », ou même sur une autre présentant un enfant attristé portant une caisse sur ses genoux « les pommes de la discorde » présenté à la galerie parisienne « Afrikaris » jusqu’en Juillet dernier, l’objectif du plasticien reste le même : dénoncer vraisemblablement la condition humaine en Afrique.

« Je veux secouer les consciences ».

Si l’on s’en tien à la pensée littéraire qui affirme « A chaque époque ses maux », on pourrait autant penser que notre plasticien ne déroge pas à la règle.
Toutes fois, bien que la peinture de la condition humaine a toujours été son leitmotiv, il faut tout de même reconnaitre qu’à un moment donné, celui-ci s’est intéressé à la thématique de la migration, en même temps qu’à l’exploitation des matières premières en Afrique, ainsi qu’aux enjeux économiques comme politiques qui la meublent. De cette manière, il expose mieux la souffrance que peuvent subir les corps dans un système capitaliste pour répondre aux besoins de la société. Cette société dans laquelle les intérêts financiers dominent parfois sur toute considération humaine.

Ainsi aujourd’hui, grâce à son art, le meilleur sculpteur, installateur et peintre des années 2010 réussit avec brio à non seulement résoudre l’épineuse équation du manque de visibilité de ses semblables engagés dans l’ombre, mais également à mettre de la lumière sur leurs œuvres pour une meilleure reconnaissance.

Avec plus d’une dizaine de séries d’exposition à ce jour, le talentueux Jean David Nkot travers son travail, emmène ses spectateurs à reconsidérer la réalité de leurs territoires notamment sur la manière avec laquelle les humains sont traités et « secoue les consciences » pour faire réagir avec espoir qui de droit. Un espoir que garde à jamais ce digne fils africain pour son continent.

La rédaction.

Patrice MOTSEPE

Il est l’un des hommes les plus riches en Afrique du sud, il est dans le top 10 des grosses fortunes africaines, il s’appelle Patrice Motsepe ! Un entrepreneur à succès qui a su allier adresse et professionnalisme pour bâtir son redoutable empire.

Qui est Patrice Motsepe ?

Né le 28 Janvier 1962 à Soweto d’une famille princière de la tribu Tswana et détentrice de commerces, il apprend les principes commerciaux de base en assistant son père Augustine Motsepe, un homme d’affaire initialement instituteur. Avec ses frères et sœurs, il a étudié dans un pensionnat catholique romain situé dans la province du Cap Oriental et plus tard à l’Université du Swaziland où il obtient une licence en arts dans les années 1980, puis une autre graduation en droit minier et droit des affaires à l’Université de Witwatersrand ; une école réservée aux blancs d’Afrique du Sud.

Déterminé plus que jamais à devenir businessman dans une Afrique enclavée aux heures sombres de l’apartheid à l’époque, il saura comment provoquer sa réussite. Il commence donc par se rendre aux Etats Unis, où il y travaille et se forme quelques temps pour revenir dans son pays natal et décider de mettre ses compétences au service de plusieurs entreprises et institutions parmi lesquelles la première : l’ANC (Congrès National Africain) qui est en pleine élaboration de la politique minière du futur gouvernement.

Les Débuts du Boss

Son ascension commence véritablement à se dessiner en 1994 quand il devient le tout premier associé noir d’un cabinet d’avocat Bowman Gilfillan qu’il intègre en 1988, une période où l’apartheid prend fin.

Nelson Mandela est élu président. Le nouveau gouvernement favorise l’entreprenariat noir et les fonds sont de ce fait alloués pour ces noirs qui décident ainsi de se lancer. C’est ainsi que Patrice fonde sa première entreprise de mine appelée Future Mining qui collecte les déchets et résidus d’or des puits intérieurs.

Trois ans plus tard, l’érudit en affaires apprécie l’explosion des bénéfices de sa société et peut déjà rendre le prêt qui lui avait été accordé pour le lancement de ses activités. Fort de ces recettes, surtout à cette période où le prix de l’or avait baissé, il va continuer ses investissements jusqu’à racheter des puits de mine d’or pour un montant de 7 millions de dollars pour les rentabiliser plus tard en fondant African Rainbow Minerals Gold Limited et devenir le patron de la première société minière appartenant à un Sud-Africain noir.

Les années 2000


Au début des années 2000, le magnat des affaires achète des actions (20%) dans l’une des plus grandes entreprises minières aurifère au monde : Harmony Gold qui possède trois exploitations minières en Afrique du Sud.
Le portefeuille devient de plus en plus large dans les affaires, ARM s’intéresse ensuite à plusieurs autres minerais notamment : le cuivre, le charbon, le fer, le platine et s’implante dans d’autres pays africains tels que : la Zambie, le Zimbabwe et la Papouasie-Nouvelle Guinée. Devenu un autre gourou des affaires, il va signer plusieurs collaborations et intégrer plusieurs comités exécutifs dont Harmony Gold, le groupe d’assurances sud-africain Sanlam une société d’assurances cotée en bourse, entre autres.

La relation avec le sport

Passionné de sport à la base, en 2004, le Boss se permet de faire une projection dans sa passion en rachetant le club de football « Mamelodi Sundows » à Prétoria. Ledit club remporte la ligue des champions de la CAF en 2016, et la supercoupe d’Afrique en 2017 période pendant laquelle il lance une nouvelle société de capital investissement : African Rainbow Capital axée sur l’investissement en Afrique.
Après cet enchainement successoral et plusieurs autres joyeux épisodes, en Novembre 2020 Motsepe annonce sa candidature à la présidence de le Confédération africaine de football.
Cependant, il est aussi vite accusé d’être soutenu par la FIFA malgré son devoir de réserve et de neutralité. Après des séries de tergiversations, Patrice Motsepe est finalement élu par acclamation le 12 Mars 2021 pour un mandat de 4ans à la présidence de ladite confédération.

Classé en 2012 comme première fortune d’Afrique du Sud et premier dans le rang de la liste des personnalités les plus riches de l’hebdomadaire dominical du pays « The Sunday Times » avec une fortune personnelle estimée à 2,4 milliards de dollars, le Boss de la banque TymeBank incarne la bourgeoisie noire à partir de laquelle il a su faire grandir son empire et s’attribuer un nom dans la société africaine. Deuxième fortune du continent selon le magazine Forbes, premier noir milliardaire en Afrique du Sud, il n’est pas juste un boss qui parle finance, mais aussi un homme qui se souci de la cause humanitaire notamment à travers son implication dans une œuvre de charité via sa fondation engagée dans l’éducation et la santé « The Giving Pledge », la lutte contre la pandémie de coronavirus en Afrique du Sud entre autres…

Félicitations Boss !!!

La Rédaction.

Mike Adenuga « le guru des affaires en Afrique »!

Il est sans doute le deuxième homme le plus riche du Nigéria avec des actifs estimés à plus de 5,5 milliards de dollars et un réseau de téléphonie mobile (d’environ 55millions d’abonnés) classé dans le top 3 du pays et d’autres entreprises. Cependant, il demeure une véritable énigme.

De chauffeur de taxi à l’époque à Boss aujourd’hui, qui est-il vraiment ? D’où vient-il ? Découvrez son histoire inspirante….

De son vrai nom, Michael Adeniyi Agbolade Ishola Adenuga Jr. est né le 29 Avril 1959 à Ibadan, dans l’Etat d’Oyo au Sud-Ouest du Nigéria (une ville très prisée après Lagos et Kano).
Fils d’un père enseignant et d’une mère « femme d’affaires », Mike va suivre ses études secondaires au lycée d’Ibadan, puis au lycée d’Aiyetoro où il obtient son certificat d’école supérieure (HSC). Il poursuit ensuite son cursus supérieur de prime abord à l’université de Northwestern dans l’Etat de l’Oklahoma au Centre Sud des Etats Unis, puis à la Pace University de New York, où il s’en sort avec un Master en Administration des Affaires.


Diplôme en poche, il cesse donc de travailler comme chauffeur de taxi pour essayer de compléter la pension que lui envoyaient ses parents durant le mois et décide de rentrer dans son pays natal pour se faire une place dans le train des affaires.

Les débuts du Boss

Motivé et outillé, à l’âge de 26 ans, Mike investi dans l’industrie de boissons gazeuses et commence à gagner de l’argent. Il ne s’arrête pas là. Il va encore plus loin et cette fois, il fait véritablement son entrée dans le monde des affaires en passant par l’industrie pétrolière en 1990 lorsque celui-ci fonde son entreprise Conoil à 37 ans. Il reçoit une licence de forage et l’année suivante, son huile consolidée est acheminée vers les eaux profondes de sud-ouest de l’Etat d’Ondo, faisant de lui le patron de la première société pétrolière autochtone à réaliser de telles prouesses quantitativement à cette époque-là.

La carrière

En 2006, les affaires se portent bien sur l’étendue du territoire et en préparation au delà des frontières, le chiffre croît, le Boss de plus en plus confiant, décide d’aller à la conquête de d’autres diapasons et cette fois, en ciblant la téléphonie mobile, d’où la naissance de Blogacom. Une autre innovation de « magicien dans les affaires » qui va non seulement réussir à très vite s’imposer telle la pluie dans le désert, avec des succursales presque partout en Afrique de l’Ouest notamment au Ghana, en Côte d’Ivoire entre autres, mais également à défier les plus gros fournisseurs de réseau de l’époque sur le territoire national.

Avec le temps, plus qu’une entreprise, la marque gagne de la notoriété et devient le deuxième opérateur du pays avec près d’une quarantaine de millions d’abonnés. Une fois de plus il ne s’arrête pas à ce niveau. Le géant des affaires va séduire d’autres horizons notamment dans l’immobilier avec la création de Proline Investment qui possède des centaines de propriétés à travers le pays.

Philanthrope, Homme d’affaires, aventurier et preneur de risques, Mike Adenuga fait partir de la génération des véritables bâtisseurs en Afrique à travers son parcours. De simple étudiant à la fois chauffeur de taxi à multiple Boss aujourd’hui avec de nombreuses distinctions parmi lesquelles : Entrepreneur africain de l’année aux premiers African Telecoms Awards (ATA) en août 2007, Pilier du football en Afrique pour son fort soutien au football africain, Prix national nigérian du Grand Commandeur de l’Ordre du Niger, Grand Commandeur de l’Ordre du Niger en 2012, Prix spécial anniversaire du jubilé de l’indépendance et bien d’autres, il est la véritable représentation de la citation « la vraie magie c’est le travail »…

La Rédaction

Jean-Louis Billon : un personnage qui s’est construit sur la durée.

Issue d’une famille, qui lui assurait déjà une certaine sécurité sociale, Jean-Louis Billon, a dû travailler dur, pour inscrire son nom, dans l’histoire de son pays, de l’Afrique et du monde.

C’est le 8 décembre 1964, à Bouaké dans la Vallée du Bandama en Côté d’ivoire, que Jean-Louis Billon voit le jour. Il passe une enfance, typique de celle de la jeunesse Abidjanaise des années 60 et 70. Ses études primaires, il les fait au Nid de Cocody à Abidjan, ses études secondaires au collège moderne d’Abidjan II, puis au pensionnat de Bingerville. En classe de seconde, il s’envole pour la France, pour poursuivre ses études.


Il obtiendra, une maîtrise en droit des affaires à l’université de Montpellier, ainsi qu’un diplôme de l’Institut des Hautes Études de Défense Nationale (IHEDN). Il partira ensuite pour les États-Unis où, il obtient un master en affaires internationales à l’Université de Floride.


Une fois, les formations terminées et les diplômes obtenus, Jean-Louis Billon, peut entamer une carrière professionnelle. Il débute dans le Wisconsin au États-Unis en tant que directeur des ventes de la société ” Grâce Cocoa” . En 1995, il rentre en côté d’ivoire et intègre, le groupe familial SIFCA comme Secrétaire du groupe. En 2001, Jean-Louis en prendra le raines après le décès de son père. Il devient alors PDG du plus grand groupe privé de la Côte d’ivoire et l’une des personnes les plus riches du pays.


Malgré cela, Jean-Louis est plus ambitieux et en veut encore plus. Cela, va le conduire sur le champ politique. En 2001, il est élu Maire de la commune DABKALA, dont son père est originaire. Il y sera jusqu’à son élection à la présidence du conseil régional du 4 novembre 2013.


En Novembre 2012, il entre au gouvernement comme ministre du commerce, de l’artisanat et de la promotion des PME. Il y passera 3 ans 1 mois et 22 jours. Durant, son séjour dans ce ministère, il plaide pour la bonne gouvernance, la lutte contre les monopoles et la corruption et dénonce la victoire du groupe Bolloré au port d’Abidjan. Par la suite, il occupera uniquement le ministère du commerce, jusqu’en 2017, date à laquelle il quitte le gouvernement et se rapproche du PDCI et s’en fait le porte parole.

2020, il présente sa candidature à l’investiture du PDCI à l’élection présidentielle avant d’y renoncer et apporter son soutien au doyen Henri Konan Bédié. Désireux de faire bouger les lignes, en octobre 2021, il annonce sa candidature à l’élection présidentielle prévu pour 2025.


Au cours de sa carrière Jean-Louis Billon aura occupé plusieurs fonctions. En 2001, il est nommé conseiller économique et sociale, vice-président de la chambre régionale UEMOA en 2022 et en 2004, vice président pour l’Afrique de l’ouest, de la conférence permanente des chambres consulaires africaines et francophones en 2004. 13 décembre 2007, il es à la tête du comité national de soutien aux éléphants de la côte d’ivoire, il va démissionner le 27 juin 2010 après la campagne du mondial sud-africain.
Tous travail méritant une récompense, Jean-Louis Billon a été décoré à la Légion d’honneur Française. Il a également été fait officier de l’ordre du mérite ivoirien et commandeur dans le mérites sportif ivoirien.
Et chevalier de l’ordre du mérite congolais.


Malgré un parcours élogieux et presque irréprochable pour ce natif de Bouaké, il rêve plus grand. Jean-Louis Billon, souhaite présidé les destinées de la République de Côte d’Ivoire.

La Rédaction

Danapay, la solution des transferts d’argent moins coûteux en Afrique !

Etes-vous à la recherche d’une application innovante de transfert d’argent en Afrique ?

Bienvenu chez Danapay !

Fintech innovante spécialisée dans le transfert d’argent à l’international, vous allez aimer la découvrir accrochez-vous !

Crée en 2017 par deux jeunes Maliens Moussa et Demba Dembélé, la pépite séduisante du marché du transfert d’argent a été conçue principalement pour les professionnels ou encore les grands acteurs économiques. Grace à sa grande capacité, vous pouvez recharger jusqu’à 30 millions de francs CFA et d’effectuer vos différentes transactions en Afrique, en Europe ou même en Asie.

Mais pour savoir comment elle a évolué, faisons d’abord un pas en arrière vers ses débuts.

Les débuts

A la question de savoir comment proposer un service différent des transfert d’argent pour les particuliers et en voulant apporter une alternative de transfert d’argent dépassant des millions par transaction à moindre coût, Demba Dembélé, l’initiateur du projet commence par étudier le marché avant de rencontrer Moussa Dembélé un ingénieur informatique ayant le même projet que lui et étant déjà avancé sur le plan technologique. Les deux homonymes, n’étant pas frères, juste soucieux de la croissance économique de l’Afrique décident alors de lancer la fintech « Danapay ».

« Nous sommes partis d’un constat simple. C’est que le marché est bien fourni en services de transferts pour les particuliers mais les professionnels qui ont besoin faire des paiements au-delà de plusieurs millions ne sont pas satisfaits par les services de Mobile Money qui sont le plus souvent limités » : Demba Dembélé.

Au départ, ce portefeuille électronique était essentiellement dédié aux transferts de fonds de la diaspora malienne de France. Des années plus tard, l’expérience de « Danaya » (nom d’où Danapay tire son origine qui veut dire « confiance » en Bambara) va porter des fruits et les promoteurs vont donc étendre leurs frontières jusqu’à la zone UEMOA (Union Economique et Monétaire Ouest Africaine).

Des transferts d’argent possible à partir de 1£ de frais seulement !

La force de frappe s’accroit au fil du temps et en Janvier 2022, l’entreprise présente en France, en zone UEMOA, au Cameroun, entre autres s’enregistre officiellement auprès de l’autorité des marchés financiers en France où elle exerce pleinement jusqu’à nos jours.

Plus qu’une formule marketing qui consiste à étudier le besoin de la population pour mettre en place un service adapté, Demba et Moussa ont su réinventer le système de transfert d’argent vers les pays africains, résoudre qualitativement le faible niveau de technologie dans le secteur des transferts de fonds en zone urbaine comme rurale et aussi inspirer ses condescendants qui jusqu’à leur innovation étaient encore affectés par l’inaccessibilité et la cherté du marché financier en Afrique.

Et aujourd’hui, grâce à une vision et à une méthodologie bien peaufinée, cette entreprise se présente non seulement comme une solution fiable mais aussi moins coûteuse que la plus part de ses concurrents. Avec son système décentralisé, elle assure l’interopérabilité à de nombreux leaders économiques, institutionnels et aussi des particuliers à travers le monde.

La Rédaction

Stéphane Bougouma: créateur de la bière “DOLO”

Jeune, visionnaire et entreprenant, il a réussi à moderniser la consommation du “DOLO” au Burkina Faso tous en gardant son aspect traditionnel.
C’est avec une grande joie et un immense honneur, que nous accueillons Stéphane Bougouma.

Passionné l’agroalimentaire, et après plusieurs années d’expérience en Europe et En Asie, Stéphane Bougouma, décide de retourner au pays des hommes intègres, le Burkina Faso Faso. Avec pour mission, modernisé la production et la consommation d’une bière locale ” le dolo”

Le “DOLO” est une bière traditionnelle fermenté et fabriqué à base de mille. Face à la faible production dû aux outils archaïques et un manque de ressources financières, Stéphane va lancer une initiative ” consommer différemment le DOLO” la bière traditionnelle phare du pays.
En 2009, il lance le projet, ” la maison du DOLO ” et ce n’est qu’en 2014, que l’entreprise décolle véritablement avec sa première brasserie.


Face à un manque d’hygiène dans la fabrication de cette bière par les producteurs locaux, le promoteur de l’entreprise UMAO (Unité de maltage de Oudtinga) industrie spécialisée dans la fabrication de la bière à base de saveurs Africaine base au Burkina se décide d’améliorer les conditions de fabrication de cette boisson. Ainsi, ” la maison du DOLO” dispose des matériels de fabrication plus adaptés, pour la production des boissons alcoolisées ou non qu’elle commercialise dans les bouteilles à usage unique.
13 ans d’expériences dans le domaine , “la maison du DOLO” produit à moyenne, 500 litres de DOLO par jour, grâce à son dispositif de production.

La société travaille en collaboration avec les producteurs qui lui fournissent la matière première dans la production du “DOLO” .
Ingénieur en technologie agroalimentaire, Stéphane Bougouma est coopté en 2018, par le programme “YALI” ( Young African Leaders Initiative) lancé par le président Obama en 2013. Programme qui regroupe exclusivement les jeunes leaders africains.


Après plusieurs années de recherche, Stéphane à réussi à trouver la bonne formule pour garder l’aspect traditionnel du DOLO tout en le rendant accessible à la consommation de masse. Il ambitionne également de replacer les bières importées par les productions locales. Sa boisson étant consommé dans plusieurs restaurants et lors de grands événements au Burkina.
Créant de l’emploi et étant une source de revenus fiable à son personnel, Stéphane Bougouma continue de penser que “l’Afrique est encore le seul continent où il y’a de la place pour tous le monde. Il n’y a qu’à se baisser pour ramasser l’or“.

La Rédaction

Aliko Dangote : Un voyage à la découverte d’un succès story africain.

Aliko Dangote, 59 ans, avec une valeur nette estimée à 18 milliards de dollars, est sans aucun doute l’homme le plus riche d’Afrique, selon Forbes. Issue d’une famille de commerçants de Kano, il a commencé sa carrière d’homme d’affaires en 1977 lorsqu’il a emprunté 3 000 $ à son oncle pour acheter des camions de ciments .

Ayant grandi parmi des hommes d’affaires et fait des études de commerce, Il a commencé très tôt dans l’entrepreneuriat et la légende raconte même qu’à huit ans , elle faisait déjà des bonbons qu’elle envoyait à la vente.

Jeune diplômé en commerce, il trouve rapidement les bonnes affaires. Le Nigeria est en plein essor et le ciment vaut une fortune. Les affaires locales à Kano étaient bonnes, mais après quelques années, Aliko Dangote a décidé de se rendre dans la capitale, pour créer sa propre entreprise, Dangote Group, et d’acheter la plus grande cimenterie d’Afrique subsaharienne.

Petit à petit, il diversifiera ses activités jusqu’à avoir aujourd’hui à son actif un conglomérat de 13 entreprises exerçant aussi bien dans le ciment, les télécoms, le pétrole et l’agroalimentaire. Pour Aliko Dangote, ” il est vraiment dommage que les hommes d’affaires Nigérians se soient focalisés uniquement sur le pétrole et le gaz, délaissant d’autres domaines d’avenir comme l’agriculture “
Parmi ses entreprises, on peut citer :

✅ Dangote Cement, dans la fabrication du ciment

✅ Dangote Sugar, qui exerce dans la sucreries

✅ NASCON, National Salt Company of Nigeria, qui fait dans la production de sel

✅ DFM, Dangote Flour Mills, qui fais dans le moulins à farine

✅ Dangote Fertilizer Plant qui est une usine qui produit les engrais

Pour Aliko Dangote, ” il est vraiment dommage que les hommes d’affaires Nigérians se soient focalisés uniquement sur le pétrole et le gaz, délaissant d’autres domaines d’avenir comme l’agriculture “

Ce grand homme d’affaires avoue que son voyage au Brésil en 1999 a été un tournant décisif pour sa carrière. Car lors de son voyage au Brésil, il fini par se rendre compte que les réels en jeux ce joue sur l’industrialisation
‘« 
Fini le commerce, place aux usines se dit-il »

Bâtisseur d’un empire qui vaut aujourd’hui plus de 10 millions de dollars et qui est la plus grosse capitalisation boursière au Nigeria, l’homme veut désormais explorer d’autres horizons.
« Nous avons jusqu’ici pu imposer le drapeau du Nigeria et de l’Afrique dans des endroits où personne ne nous attendait » affirme t-il.

Si en l’espace de 30 ans, Aliko Dangote a développé un groupe qui traverse les frontières, le businessman n’entend pas se stopper en si bon chemin puisque » Dangote Group » projette d’investir plus de 15 milliards de dollars dans les prochaines années et espère représenter 10% du PIB du Nigeria, considérée comme la plus grande économie d’Afrique.

La Rédaction

Jean Kacou Diagou, le Boss du groupe des assurances NSIA 

Fondateur et président du premier groupe d’assurance et de banque ivoirien, la Nouvelle société interafricaine d’assurances (NSIA), qui réunit 32 sociétés dans 12 pays, Jean Kacou Diagou est le deuxième homme le plus fortuné de Cote d’Ivoire.

Respecté en Afrique et même à l’international grâce à son parcours exceptionnel, le fondateur de NSIA 1995 est devenu un des entrepreneurs les plus en vue en Afrique francophone subsaharienne.

 « J’ai fait mon école primaire dans mon village avant de rejoindre le séminaire où j’ai étudié de ma 6e jusqu’à l’obtention de mon baccalauréat. A ce moment, là la fin de mon cursus, j’aurais pu finir prêtre »

Prédestiné à être prêtre selon son cursus scolaire, ou footballeur pour son talent, l’assureur va plutôt choisir un autre chemin.

Les débuts

Tout commence en 1972, lorsque le bachelier en philosophie obtient son diplôme de l’Ecole nationale d’assurances à Paris (un Conservatoire national des arts et métiers CNAM) après l’obtention de sa licence en sciences économiques à l’Université d’Abidjan. Il va donc officier comme chef du service Sinistre de l’entreprise SIA, une agence de l’Union des Assurances de Paris (UAP) qui aujourd’hui porte le nom de AXA.

Arrivé par hasard dans le monde des assurances, 3 ans plus tard, le hasard commence à porter des fruits. L’assureur ivoirien est promu secrétaire de la section de l’UAP à Abidjan. L’étoile ne cesse de briller de mille feux et six ans après, en 1981, il passe de secrétaire de section à directeur général de l’Union Africaine IARD une filiale de l’UAP, ainsi que de l’Union Africaine Vie, en plus d’être administrateur de l’union des Assurances du Niger.

A ce moment, la passion pour le marché des assurances ne fait que grandir et le président de l’association des sociétés d’assurances de Cote d’Ivoire a de plus en plus soif et décide d’aller tout surement à la conquête de nouveaux échelons. C’est ainsi qu’en sa posture de président de la FANAF (fédération des sociétés d’assurance de droit national africaines),il va participer d’ores à la rédaction du code CIMA (conférence interafricaine des marchés d’assurance) puis se retrouver 11 ans plus tard au poste d’administrateur et vice-président du groupe Union Africaine. Un poste qu’il occupera jusqu’en 1994.

Après un parcours édifiant et élogieux au sein des institutions internationales, la figure de proue de l’assurance ivoirienne décide alors quelques années plus tard de créer sa propre entreprise d’assurance, ce qui marque l’avènement de NSIA.

L’avènement de NSIA

La machine se met en marche en Juillet 1995 lorsque l’administrateur de la CNPS (Caisse nationale de prévoyance sociale) crée la Nouvelle Société Interafricaine d’Assurance en Janvier en se basant sur des capitaux essentiellement africains avec une somme estimée à 300 millions F CFA. Six mois après la création, le groupe connait une ascension fulgurante avec plus de 3000 employés répartis dans près de 12 pays d’Afrique subsaharienne. Et malgré les « crocs en jambe » de ses anciens patrons qui supportaient mal le fait qu’un ancien employé soit leur principal concurrent en Afrique, l’assureur réussit tout de même à faire un chiffre d’affaire estimé à 900 000 000F CFA à la fin de l’année.

L’année suivante, l’Assurance Générale de France abandonne le marché africain. L’occasion faisant le larron, NSIA se ravit d’acquérir la filiale Ivoirienne de l’entreprise française.

Deux ans plus tard, pendant que le Boss est également administrateur de la CAA (Caisse Autonome d’Amortissement), son groupe se dote d’une nouvelle entreprise au Benin (NSAB : Nouvelle Société Assurance Bénin) et en 2000 au Gabon en rachetant l’ancienne Mutuelle du Gabon qui devient NSIA Gabon. 

Entre 2000 et 2007 seulement pendant qu’il est également administrateur de la CGRAE (caisse générale de retraite des agents de l’Etat), président du Bureau Exécutif de l’OAA (Organisation des Assurances africaines) de 2001 à 2002 et en même temps vice-président de la CNPS, le groupe NSIA compte déjà 15 entreprises dont une banque la BIAO, ex-filiale de la Belgolaise. Il lui a juste fallu quelques années pour tisser son vaste empire tant dans son pays que dans les pays voisins où ses produits vont séduire de nombreux africains.

Le rythme était maintenu au beau fixe : chaque année on pouvait observer la création d’une nouvelle agence et évidemment la réalisation de nouvelles ambitions. C’est ainsi qu’on a pu observer vers la fin de l’année 2014 pendant qu’il était président de la Fédération des Organisations Patronales de l’Afrique de l’Ouest (FOPAO), 25 filiales au total parmi lesquelles deux banques notamment la BIAO et la Diamond Bank qui comptait environ 700 employés.

Le marché des assurances en Afrique, un réel défi !

Son souci majeur était certes d’entreprendre mais surtout d’offrir à la fois des services bancaires et des produits d’assurance de qualité. C’est pourquoi il a réussi à s’implanter dans plus d’une dizaine de pays africains notamment le Gabon, le Sénégal, le Bénin, le Congo, le Togo, le Cameroun, la Guinée Bissau et bien d’autres avec 32 sociétés environ.

Les distinctions

A travers des distinctions telles que : commandeur de l’ordre national de Cote d’Ivoire, Officier de l’ordre équatorial du Gabon, commandeur de l’ordre du mérite ivoirien, prix d’honneur 2008 de la Direction Générale des impôts, entre autres, force est de constater que le groupe de l’entrepreneur à succès considéré comme l’une des références de la banque assurance en Afrique remporte avec une fierté incommensurable la place du leitmotiv de l’assureur d’Abidjan dont la fortune est estimé à plus de 243 milliards F CFA.

La rédaction

𝗖𝗔𝗣 𝗦𝗨𝗥 𝗨𝗡 𝗛𝗘𝗥𝗢 : 𝗔𝗠𝗜𝗟𝗖𝗔𝗥 𝗖𝗔𝗕𝗥𝗔𝗟

Amilcar Cabral est née le 12 septembre 1924 à Bafatà, dans l’est de la Guinée-Bissau. Le pays dans lequel il voit le jour, la Guinée portugaise, est décimé par plusieurs siècles de traite négrière. Vaste de 40.000 km², il ne comptait que 500.000 habitants en 1960.

Toutes les forces vives du pays sont mobilisées dans la production d’une monoculture d’arachide : les populations sont réquisitionnées de force et amenées à négliger leur production agricole traditionnelle, ce qui se traduit par des famines répétées.

L’espérance de vie moyenne est de 30 ans au moment de l’indépendance. Contrairement aux colonies anglaises et françaises, les Portugais n’investissent quasiment pas dans les infrastructures, ce qui aggrave encore la situation locale.
Du fait du détournement de la production agricole traditionnelle par les colons et du manque d’eau lié à la pluviométrie, de nombreuses famines meurtrières ébranlent ces îles rocailleuses.

Cette situation marquera profondément le jeune Cabral qui décidera d’orienter ses études vers l’agronomie afin de remédier aux problèmes agricoles qui empoisonnent l’existence de ses compatriotes.

En 1945, à l’âge de 21 ans, il obtient une bourse pour poursuivre ses études supérieures à Lisbonne au Portugal.
C’est donc dans ce climat intellectuel et ce contexte historique qu’Amilcar Cabral est amené à rencontrer des condisciples étudiants qui, comme lui, écriront les pages d’histoire de leurs pays respectifs : Agostinho Neto (leader de l’indépendance de l’Angola) et Eduardo Mondlane (fondateur du Frelimo, mouvement de libération nationale du Mozambique).


Cabral et ses amis africains ressentent également la nécessité d’une « réafricanisation des esprits », s’intéressent aux travaux pionniers des écrivains de la négritude, fondent le « Centro de Estudos Africanos» qui leur sert de think-tank dans cette perspective de retour aux sources culturelles africaines.

Amilcar Cabral achève ses études en 1950 et devient ingénieur agronome. en 1952, il retourne en Guinée portugaise pour travailler aux services de l’agriculture et des forêts et plus particulièrement au centre expérimental agricole de Bissau, qu’il dirige dès l’âge de 29 ans.

Durant son année d’exil, Amilcar Cabral travaille dans une entreprise sucrière. Fort de l’exemple du MPLA, Cabral fonde à Bissau le 19 septembre 1956 avec 5 compagnons le Parti africain pour l’indépendance (PAI), qui deviendra bientôt le PAIGC en intégrant la thématique de l’union nécessaire des peuples de Guinée et des îles du Cap-Vert.

Il participe également à la structuration du mouvement syndical et jouera un rôle important dans l’organisation d’une grève ouvrière le 3 août 1959, violemment réprimée par les colons portugais. Suite à cet échec, et face à l’impuissance d’un mouvement de contestation politique traditionnel (manifestations, grèves, etc.) qui s’explique par le caractère particulier du régime dictatorial portugais qui n’a aucune intention de suivre l’exemple de la France et du Royaume-Uni, Amilcar Cabral décide d’engager une lutte armée pour accéder à l’indépendance. La guérilla débute en 1963.

Cette lutte armée est menée principalement à partir des campagnes que Cabral connaît désormais très bien. Positionnant ses bases-arrières en Guinée Conakry et en Casamance, le PAIGC se lance progressivement dans la consolidation de son emprise des campagnes et de l’adhésion des populations rurales en Guinée-Bissau. Face à lui, le pouvoir colonial portugais peut compter sur une force militaire présente sur place de plus de 30 000 hommes bien équipés. Le combat est donc inégal, mais malgré ce handicap la stratégie d’insurrection rurale et d’enclavement des villes par les campagnes se révèle payante, comme ce fut le cas en Chine.

Bientôt c’est tout le Sud du pays qui est sous le contrôle du PAIGC. Amilcar Cabral fait alors preuve de toute son originalité….

La Rédaction.

En Afrique du Sud, les artistes passent désormais aux NFT

Devenus populaires tout récemment, les NFT (acronyme de l’anglais Non-fungible Token), encore appelés ‘’jetons non-fongibles’’ en français sont des unités « économiques » qui font référence à un bien ou à un actif pouvant être changé contre un autre bien ou un autre actif de même valeur.

Ces termes utilisent la même technologie que les crypto monnaies ou le Bitcoin, à la seule différence que ceux-ci sont traçables.

Bienvenu dans l’entreprise Sud-Africaine qui aide les artistes à vendre leurs œuvres en tant qu’actifs numériques NFT tout en restant écologiquement responsable.

The Tree en Anglais ou tout simplement « l’entreprise du futur », est cette plateforme qui a tendu la main aux artistes sud-africains voulant expérimenter le meilleur du monde physique et numérique de l’art.

Grace à elle, les jeunes artistes du pays de Nelson Mandela peuvent désormais exposer puis commercialiser leurs créations. L’un d’eux, Fhatuwani Mukheli dit même pouvoir se mettre à jour au sujet des tendances artistiques qui passaient d’abord par l’occident : «… Je pense que la chose la plus étonnante avec cet espace numérique, c’est qu’il nous met en concurrence totale en même temps et avec tout le monde à travers le globe. Avant, les choses étaient lentes, les tendances commençaient en Amérique et arrivaient chez nous un an ou deux ans plus tard. Aujourd’hui, nous sommes à jour, nous sommes dans le futur, nous sommes littéralement au même niveau que n’importe quel pays . ».

Si cette entreprise semble être une aubaine pour les sud-africains, pour son fondateur Dan Portat, le but est surtout de compenser les émissions de carbone émises par les ventes de crypto-art. De plus, elle permet aux artistes de vendre leurs NFT et de collaborer aussi avec une organisation de la ville du Cap pour un projet de reboisement.

Le processus de vente comment ca marche ?

Une fois la transaction effectuée, l’acheteur reçoit un jeton numérique vérifié ou encore un certificat numérique, prouvant que l’œuvre est originale.
Le NFT le rend unique et traçable. Il indique également le vendeur, l’acheteur, le prix et la date de la vente.

Comment bien investir dans les NFT ?

Sachant que dans ce type d’entreprise, l’on peut gagner de l’argent avec : les œuvres d’art numériques, les objets de collection, les jeux vidéo NFT, les projets NFT, entre autres, il faut aussi noter que le plus important sera de trouver un artiste ou une collection de NFT avec une forte communauté autour. Car la place d’une communauté dans le succès d’un NFT est primordiale. Puisque sans fan, l’effet de rareté qui permettrait de faire monter le prix ne saurait exister. Alors s’il n’y a pas de demande, le prix ne pourrait non plus augmenter.

La rédaction